Vous commencez maintenant à me connaître, je suis plutôt du côté de ceux qui défendent la valeur réelle des choses au détriment de la politique du prix bas et pourtant aujourd’hui, une fois n’est pas coutume, ce ne sera pas le cas. Je vais vous conter l’histoire d’une pendule en marbre Napoléon III que je voyais déjà décorer mon salon.
Une bonne affaire
Il y a de cela quelques jours, je chine avec mon épouse dans un dépôt-vente lorsque nous avons notre regard attiré par une magnifique pendule en marbre Napoléon III. La fiche indique qu’elle est vendue 50 euros, qu’il faut la réviser et que la clé de remontage manque. Je jette un coup d’œil, le marbre est impeccable, le mouvement de Paris semble en bon état et quelqu’un a pensé à retirer le balancier qui gît intact au fond de la caisse. L’affaire vite conclue, nous rentrons chez nous, certains d’avoir fait une bonne affaire, la côte d’une telle œuvre d’art en état de marche variant entre 90 et 150 euros.
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